• Voici quelques plantes d'intérieur dépolluantes (d'après Ouest France Dimanche du 18/11/07) :

    - Dans la cuisine : l'anthurium et le rhapis (absorbent l'ammoniaque). Mais aussi un gerbera ou un ficus benjamina.

    - Dans la salle de séjour et le salon : le phoenix roebelenil, un ficus, le philodendron arborescent et le dracaena marginé. Et aussi le poinsettia, le scefflera et le sanseviera.

    - Dans le bureau l'aglao-nema "Silver Queen", le pothos, le chlorophytum, un rhapis, le spathiphyllium, le dracaena, le philodendron rouge, le lierre...

    - Dans la chambre, le mêmes plantes que plus haut mais celles qui supportent la lumière et la température réduite comme le philodendron arborescent, le dracaena marginé, le pothos, le rhapis, le chlorophytum...

    - Dans la salle de bain, une fougère de Boston (néphrolépis)

     


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  • Quelques considérations sur ces plantes d'intérieur qui n'en finissent pas de nous surprendre, d'après Ouest France Dimanche du 18 novembre 2007 ( Denis Pépin):

    " Grâce à leurs pigments chlorophylliens qui captent l'énergie lumineuse, les plantes transforment le gaz carbonique de l'air en sucres simples ou complexes comme la cellulose. C'est la photosynthèse. En échange, elles rejettent de l'oxygène dans l'air. Tout l'oxygène de l'athmosphère a ainsi été créé au cours des temps géologiques par les algues vertes et les plantes. Une fonction vitale bienvenure en hiver dans les intérieurs trop calfeutrés et insuffisammment ventilés.
    On sait aujourd'hui, grâce à des travaux scientifiques, que les plantes d'intérieur ne sont pas seulement capables de créer de l'oxygène. Elles peuvent aussi éliminer de nombreuses subtances toxiques qui encombrent l'air intérieur et proviennnet des meubles, de la moquette, des produits d'isolation, mais aussi des sprays, vernis, colles, dégraissants, parfums d'ambiance, ou encore pesticides utilisés contre les insectes ou les acariens... sans oublier les fumées de cuisson du grill et la fumée de tabac, la pire.

    Les principales substance incriminées sont le benzène, le monoxyde de carbone, le toluène, le styrène et le formaldéhyde issu des colles, du bois-aggloméré ou contreplaqué et des isolants.
    Combien de plantes sont nécessaires pour lutter contre la pollution de l'air intérieur? Nul ne le sait encore. .. Une fois fixées  par les feuilles, les racines et la terre de culture, les substances sont dégradées par les plantes, et les micro-organismes du substrat en éléments simples qui contribuent à nourrir les plantes. Une subtile "alchimie" qui permet de réduire la pollution, même si la meilleure façon d'y parvenir est encore de bien ventiler les locaux et de limiter la présence de produits et matériaux qui en sont la cause."

    Une prochaine fois, la liste de ces plantes sera sur ce blog complétant une autre liste parue il y a déjà quelques mois sur ce même blog.

     


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  • Ce samedi 17 novembre 2007, 19 enfants se sont retrouvés autour de Patrick, l'animateur de la Cicadelle, aidés par 2 parents accompagnateurs, Jean-François et Jean-Pierre.

    Cette matinée, le thème étudié était "Les glands, les marrons, avec eux, on fait tout". A commercer par un yoyo, mais pourquoi pas une fronde ou de petits animaux.

    C'est ainsi 1 samedi par mois pour ce groupe, mais aussi pour un autre groupe de 22 enfants avec Hervé, l'animateur.

    Le prochain thème retenu est  "Les mangeoires à oiseaux Aide les oiseaux à passer l'hiver" les 8 et 15 décembre 2007 au Centre Culturel communal de St Hilaire de Loulay (85)

    Voyez l'album ci-contre.


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  • Un nouvel album sur la visite au Grand Blottereau vous permettra de vous rendre compte de la diversité des lieux, de la qualité du cadre et vous incitera sûrement à vous y rendre pour un grand bol d'air dépaysant.

    Bonne visite virtuelle !


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  • Le château du Grand Blottereau fait partie de la trentaine de "folies nantaises" construites par de riches commerçants ou armateur nantais (rappelons que Nantes s'est enrichie du commerce des esclaves noirs dit "commerce triangulaire"). Il est situé dans le quartier de Doulon (commune rattachée à Nantes en 1908).

    De 1742 à 1747, Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes et seigneur de Doulon, fait construire le château du Grand Blottereau. Il est revendu à la famille Deseigne (qui fait apporte les modifications actuelles) et à la famille Barbier puis à leurs descendants jusqu'à l'acquisition par Thomas Dobrée, dont la famille s'est enrichie par le commerce négrier. Il consacre une partie de sa fortune à acheter des oeuvres d'art et une autre partie à construire une autre "folie" qui est devenue le musée Dobrée. A sa mort, en 1895, Hippolyte Durand-Gasselin est nommé légataire universel. En 1905, celui-ci fait don de la propriété du Grand Blottereau à la ville de Nantes.

    En 1902, sont construits un jardin, les serres (installation d'une Chaire d'Agronomie Coloniale de l'Ecole Supérieure de Commerce) ainsi qu'une vacherie dont le lait est destiné aux oeuvres sociales. Pendant la 1ère guerre mondiale, 10 hectares sont mis à disposition des autorités militaire qui y installe un hôpital militaire pour le corps expéditionnaire américain. Entre les 2 guerres, la ville loge les familles nécessiteuses dans des baraquements. En 1927, le fleuriste municipal s'installe au Grand Blottereau. En 1933, dans les communs du château, est créé le Lycée Horticole, établissement privé.

    Pendant la deuxième guerre mondiale, le Grand Blottereau accueille successivement des soldats britanniques puis allemend. Ces derniers construisent un blockhaus qui ne sera détruit qu'en 1970. A la Libération, de 1945 à 1961, la 'Maison de l'Enfance' a accueilli 250 enfants orphelins victimes de la Seconde guerre mondiale. En 1952, les pépinières municipales (à l'origine au parc de Procé) s'installent au Grand Blottereau sur 9 hectares. En 1962, des rapatriés d'Algérie y sont logés.

    En 1970, les serres coloniales deviennent municipales et tropicales. Des travaux sont entrepris sur les bâtiments qui ont beaucoup soufferts.

    Depuis, de nombreux espaces ont été créés, de nouvelles serres plus fonctionnelles ont remplacé les anciennes. Le Grand Blottereau est un endroit incontournable pour les nantais. Et il ne tient qu'à vous d'être visité : vous en garderez sûrement un agréable souvenir.

    Pour plus de renseignements, quelques sites à visiter :
    - le site du S.E.V.E. (Service des Espaces Verts et de l'Environnement de Nantes)
    - une page d'histoire sur Doulon
    - les archives de Nantes sur la Maison de l'Enfance au Grand Blottereau
    - un autre blog


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